J’était à la recherche pour un moyen de transport écologique, économique et personnel. Toutes les alternatives évaluées comportaient des défauts et des avantages en tenant compte de mes besoins. L’achat d’une voiture 100% électrique nécessite un montant d’argent non négligeable. Le transport en commun engendre une certaine dépendance en fonction des horaires et des temps de déplacements. La conclusion de mes recherches m’a amené à considérer l’utilisation d’un vélo à assistance électrique.
Le but de l’exercice (sans jeu de mot) n’est pas de remplacer mon vélo traditionnel qui demeure le choix idéal pour des randonnées avec niveau d’effort élevé mais plutôt de remplacer les déplacements automobiles tels que ceux pour aller travailler ou aller faire des courses ou même faire l’épicerie. Ce type de déplacements doit être relativement rapide et sans effort (pas de sueur en arrivant à destination). Le défaut majeur du vélo électrique est qu’il n’est utilisable (au Québec) que pendant environ 6 mois par année (trop risqué pour la conduite hivernale selon moi).
Étant donné, qu’à la base il s’agit d’un vélo conventionnel (avec des pédales), il est tout à fait possible de fonctionner sans assistance électrique. Cet élément rajoute d’ailleurs un certain niveau de confiance par rapport au risque d’avoir un batterie à plat ou une défaillance du système électrique. Aucun autre type de véhicule de ce genre n’offre cet avantage.